Nos valeurs

En tant qu’association…

Les valeurs humanistes sont au coeur de notre fonctionnement, entre :

• Respect,
• Accueil,
• Solidarité

Nous avons à cœur de construire un cadre porteur et bienveillant, pour nos professionnels comme pour les hommes, femmes et enfants que nous accompagnons dans leurs parcours.

En tant que structure accompagnatrice…

Nous soutenons nos résidents dans leurs parcours de santé et de vie (sociale, médico-sociale, sanitaire), grâce à un accompagnement de proximité adapté à leurs besoins (prise en charge complète, partielle, à domicile…). 

Objectifs de notre accompagnement : 

  • Développer l’insertion et l’autonomie des personnes accueillies
  • Lutter contre l’exclusion et la stigmatisation des personnes accompagnées ;


En ce sens, notre politique s’attache à déployer une communication volontariste pour rendre les enjeux de santé mentale plus visibles et accessibles aux yeux du grand public.

En tant que réseau de professionnels du social et de la santé… 

L’éthique, la déontologie et le dialogue sont au cœur de notre quotidien, en interne, entre partenaires comme auprès de nos patients. Notre engagement s’exprime au travers de valeurs et approches transversales :  

  • Une recherche d’excellence dans les profils et pratiques de nos professionnels ;
  • Une optimisation du management à tous les niveaux par des recrutements externes et des évolutions internes ;
  • L’inscription de ces évolutions dans l’organisation et la gouvernance des différentes instances ;
  • Un renforcement de la place des médecins autour de dynamiques de projets, l’implication des soignants et des usagers dans les réflexions et décisions clés ;
  • Un partage des enjeux avec toutes les équipes, qu’elles soient médicales, soignantes, techniques, administratives, logistiques, informatiques, etc.

Car l’ICM, c’est avant toute chose une grande équipe de près de 1 100 salariés liées par des compétences et des valeurs qui nous tiennent à cœur.

L’ICM en chiffres

1021

salariés

23

psychiatres

177

aides- soignants

13

sites d’implantation

623

lits et places autorisés

262

infirmiers diplômés d’état

93

métiers différents

65 M€

de budget global

13

généralistes

1 100

salariés

23

psychiatres

177

aides- soignants

13

sites d’implantation

623

lits et places autorisés

262

infirmiers diplômés d’état

93

métiers différents

65 M€

de budget global

13

généralistes

L’Histoire de l’Institut Camille Miret

L’Institut Camille Miret : d’hier à aujourd’hui !

Moyen-Âge
Jusqu’au Moyen-Âge, Leyme n’est qu’un vallon désertique et marécageux.

Cette petite ville dont le nom provient du latin EREMUS, qui signifie “Désert”, n’est accessible que par une voie romaine reliant Cahors à Aurillac.

13e siècle
Au début du XIIIème siècle, Guillaume de Cardaillac, évêque de Cahors, et son frère Guéraud, bénédictin de l’abbaye de Tulle et prévôt de Vayrac, obtiennent la cession des droits de la chapelle par la Daurade de Cahors. De 1213 à 1220, ils y construiront une abbaye de l’Ordre cistercien.

Ce dernier, fondé par Robert de Molesmes, réinstaure la règle de Saint-Benoît basée sur la discipline, l’obéissance, l’austérité, l’humilité, la charité entre frères, le travail.

Cet ordre s’ouvrira aux femme en 1220.

Ainsi, Aygline, mère de l’évêque de Cahors, deviendra la première abbesse de l’abbaye de Leyme.

L’Institut Camille Miret : d’hier à aujourd’hui !

1562-1598
La guerre de religion (1562-1598) brûlera en partie l’abbaye.
Au XVIIème siècle, elle sera reconstruite. Et en 1674, l’abbesse, Madame de la Vieuville, réaffirme les règles de l’Ordre cistercienne et applique la réforme de 1674 instaurée par l’abbé de Rancé.

A l’abbaye de Leyme, cela consiste à se lever la nuit pour chanter les matines (psaumes, lectures), dormir dans sa tunique, se priver de viande ou encore renoncer aux contacts avec les personnes de l’extérieur.

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1789
La Révolution française marque la fin de la vie de monastère à Leyme. 

La dernière abbesse de ce lieu sera Marie-Louise Bonaventure du Garric d’Uzech.

1835
En 1835, les bâtiments de l’abbaye de Leyme sont vendus à un certain “Frère Hilarion”. Celui-ci consacre sa vie et sa fortune à fonder des dizaines de maisons de soin.

Ce qui motive Frère Hilarion, c’est le dur souvenir de son hospitalisation à Charenton à la suite d’un “accès d’aliénation mentale”. Il est tantôt décrit comme un idéalise, tantôt comme un original par ses écrits tels que Prodiges et miracles (1853) ou encore Délires des somnambules (1856)

1835
Homme charitable et dévoué mais mauvais gestionnaire, Frère Hilarion est emprisonné à Clermont-Ferrand pour des dettes contractées lors de la création d’un autre établissement.

Cependant, Monsieur Vargues, son élève signe l’acte d’acquisition des bâtiments et ainsi est créée l’”Asile médico-agricole de Leyme » Les sœurs de l’Ordre de Nevers apportent leur appui quotidiennement et l’asile compte déjà 13 patients venant de Cahors.

1838
Le 30 juin 1838 est adoptée “Loi des aliénés”. Celle-ci impose à chaque département de se doter d’un établissement public ou privé « spécialement destiné à recevoir et soigner les aliénés » ou, si ce n’est pas possible, de traiter avec un établissement d’un département voisin. Elle définit et encadre les modalités d’entrée, de séjour et de sortie.

 

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1853
En 1853, sous la direction de Monsieur Cabriniat, l’Asile médico-agricole de Leyme compte 300 patients.

Afin de répondre aux normes de l’époque, de nouveaux bâtiments voient le jour permettant la séparation entre le quartier des femmes et celui des hommes.

1877

  • En 1877, Camille Miret, ingénieur des Arts et Manufactures, devient directeur. Il va marquer l’architecture des bâtiments, transformant et construisant des unités de soins.

Il est aussi à l’origine du jardin anglais, de la paneterie, de la tour farinière, de la lingerie et de la buanderie. Il y modernise les salles de bains et équipe aussi l’établissement d’un système de chaufferie avancé.

1877
Cet avant-gardiste imagine même le passage d’un chemin de fer pour le projet de tramway électrique reliant Beaulieu à Saint-Céré et Beaulieu à Assier.

Il créera la gare sans même attendre la validation du projet. Finalement, celui-ci ne verra pas le jour et “la gare” sera utilisée comme basse-cour.

Au-delà de son goût pour l’architecture, il apporte de nouvelles méthodes d’irrigation et de drainage permettant de développer la production agricole du site.

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1905

  • Le 18 avril 1905, Camille Miret meurt. Son frère, Joachim, lui succède et termine les travaux en cours. 

1906
En 1906, l’Asile médico-agricole de Leyme change de statut et devient “Maison de santé médico-agricole”.
1939 - 1945
Durant la 2nde guerre mondiale, Roger Dartencet, directeur de la Maison de santé, fait face alors à une arrivée massive de patients venant de la zone occupée. 
1943 - 1945
En 1943, plus de 1 000 patients sont dénombrés.

Le 1er octobre 1945, Henri Darnis qui succède à la direction entreprend la création de plusieurs services dont celui dédié aux enfants.

1974
En 1974, la législation hospitalière impose un nouveau statut à la Maison de santé faisant de ce lieu la Fondation Camille Miret (association loi 1901).
1992
En 1992, la Fondation Camille Miret devient L’Institut Camille Miret.

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Aujourd'hui

  • Aujourd’hui, L’Institut est une association à but non lucratif où sont accueillis, soignés et accompagnés des personnes souffrant de troubles psychiatriques ou psychologiques et des personnes en situation de handicap mental ou psychique. 

L’institut intervient aujourd’hui sur plusieurs sites dans les domaines sanitaires, médico-sociaux et sociaux. Notre Institut adhère à la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs (FEHAP).

Adhésion

 

L’Association se compose de membres :

  • adhérents
  • fondateurs
  • bienfaiteurs
  • honoraires de droit

 

Tout nouveau membre doit être parrainé et présenté au Président par deux membres de l’association préalablement à son agrément pour un examen de sa candidature par le bureau.

Son adhésion est ensuite approuvée par le Conseil d’administration sur proposition du bureau.

Le titre de membre adhérent est reconnu aux membres qui s’acquittent annuellement de la cotisation fixée par l’Assemblée Générale.

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